Une délégation ministérielle gabonaise conduite par Lambert-Noël MATHA, ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur, et constituée notamment du ministre de la Décentralisation, de la Cohésion et du Développement de territoires, Michel MENGA M’ESSONE, et de Yolande NYONDA, ministre délégué auprès du ministre des Affaires étrangères, a visité le nouveau Monument patriote le 26 mai 2022.
« Vraiment, c’est magnifique, c’est très beau. Nous sommes contents du privilège que nous avons de visiter ce monument », a réagi Michel MENGA M’ESSONE. « Le ministre ATANGA NJI nous a fait l’honneur de visiter ce monument à l’issue des travaux de la Commission sur la sécurité transfrontalière. Moi qui ai la chance de le voir depuis la suite de mon hôtel, j’ai expliqué au maire que ce qu’il vit ici, moi je le vis tous les soirs, c’est impressionnant », a pour sa part indiqué Lambert-Noël MATHA.
À titre de rappel, le « monument patriote » réalisé au lieu communément appelé « rond-point des services du premier ministre » pour certains et « rond-point Hilton » pour d’autres a été inauguré le 18 mai 2022. Ces dénominations informelles découlent de sa localisation géographique fait observer le maire de la ville « Il était donc opportun voire nécessaire que le Conseil de Communauté urbaine donne officiellement un nom au monument conformément à la loi du 24 décembre 2019 portant Code général des collectivités territoriales décentralisées », explique MESSI ATANGANA Luc
« En dehors de ses composantes esthétiques, qui visent l’embellissement de sa zone d’implantation, l’ouvrage en question comporte des caractéristiques et des symboles cadrant aussi bien avec nos préoccupations contextuelles que notre vécu quotidien, socio-culturel ou sportif Toutes choses qui sont de nature à inspirer une dénomination significative, Interpellatrice et suggestive » précise le maire. Il s’agit d’une œuvre originale qui garde l’identité culturelle des peuples du Centre composée de deux arcs en fibre de verre. Son diadème est constitué de deux mains portant précieusement la carte du Cameroun, de cinq piscines dont trois centrales en forme circulaire et les deux autres en forme d’étoile aux couleurs du Cameroun. Le reste de l’espace est piétonnisé », détaille le directeur du Développement des infrastructures et des équipements de la CUY, Hubert Jean Claude ANDZE OLINGA. Il ajoute que l’ouvrage fonctionne avec un système d’arrosage, d’animation et d’allumage automatique et bénéficie d’une surveillance permanente.
Cette visite était guidée par le maire de la ville de Yaoundé, Luc MESSI ATANGANA, qui a également conduit ses hôtes à la découverte du Monument de l’Unité érigé non loin de la présidence de la République. Les membres du gouvernement gabonais ont également visité le monument de la Réunification et le Musée national. Cette visite des monuments de la capitale camerounaise a été initiée par le ministre de l’Administration territoriale, Paul ATANGA NJI, en marge des travaux de la première session de la Commission mixte permanente de sécurité transfrontalière et de la 2è réunion de la Commission ad hoc des frontières Gabon-Cameroun tenus du 23 au 27 mai 2022 à Yaoundé.
Les clés des édifices modernes abritant 4 postes et un commissariat construits par la Communauté urbaine de Yaoundé ont été remises au Délégué général à la Sûreté nationale courant 2021.
Le maire de la ville de Yaoundé, MESSI ATANGANA Luc, a remis les clés de deux postes de police au délégué général à la sûreté nationale (DGSN), Martin MBARGA NGUELE, le 29 octobre 2021. Cette remise de clés des deux édifices, de type R+1, construits par la Communauté urbaine de Yaoundé (CUY) au carrefour Coron et au lieu-dit « Trois statues à Olézoa, vaut leur attribution définitive à la DGSN.
Dans son discours de circonstance, le maire de la ville relève la spécificité du poste de police d’Olézoa, au regard de son implantation dans un carrefour pluridirectionnel lui conférant ainsi un rôle multidimensionnel. De plus, précise MESSI ATANGANA Luc, l’édifice est construit sur la propriété foncière de la Communauté urbaine de Yaoundé
En ce lieu sont prévus beaucoup d’aménagements qui feront de cet espace un lieu de loisirs, de détente, de restauration et de ressourcement. Ceci grâce notamment à la création d’un arboretum, une sorte de musée végétal vivant constitué uniquement d’essences forestières rares à l’instar de l’Essingan qu’on pouvait encore trouver à Yaoundé avant la poussée de l’urbanisation.
La rétrocession des postes de police de Coron et d’Olézoa constitue la quatrième du genre enregistrée au cours de l’année 2021. En effet, le 12 février, le patron de la police camerounaise avait déjà pris possession de deux postes de police construits par la mairie de la ville au carrefour Tsinga et au rond-point Bastos, deux endroits autrefois réputés pour les actes divers de vols et d’agressions. Outre ces quatre postes de police, le maire de ville a rétrocédé un bâtiment de type R+1 construit par ses soins au carrefour Warda au patron de la police le 2 mars 2022. Cet édifice abrite la compagnie de sécurisation des établissements scolaires et universitaires de la capitale.
Ces réalisations du maire de la ville traduisent son engagement à « contribuer à l’amélioration des conditions de travail des fonctionnaires de la police nationale affectés à des sites sensibles ». En effet, depuis sa prise de fonction en mars 2020, MESSI ATANGANA Lue s’est particulièrement investi dans la lutte contre l’insécurité afin de faire de Yaoundé une ville où règnent l’ordre et la sécurité, et où les populations peuvent vaquer librement et sans inquiétude à leurs occupations.
Cette initiative est saluée à sa juste valeur par le DGSN, Car, au-delà d’offrir un cadre de travail plus attrayant aux éléments de la police nationale, les nouveaux édifices sont des joyaux qui renforceront aussi la présence des forces de maintien de l’ordre sur le terrain.
Inauguré le 29 septembre 2021, il réserve tout un secteur aux ex-vendeurs à la sauvette qui avaient élu domicile à l’avenue Kennedy, perturbant la circulation sur cette voie parmi les plus passantes de Yaoundé.
La construction du marché Ongola, au lieu-dit ancien SHO, sur une superficie avoisinant un hectare, a nécessité un investissement de 1,480 milliard FCFA. Constitué de six blocs de bâtiments. Ce nouvel espace marchand a une capacité d’environ 200 boutiques, 25 kiosques et 445 comptoirs. Parmi les bénéficiaires, figurent les ex-vendeurs à la sauvette de l’avenue Kennedy. En exerçant leurs activités sur les trottoirs et parfois sur les abords de la chaussée, ils contribuaient à rendre la circulation difficile pour les piétons que pour les automobilistes sur cette artère parmi les plus passantes de la capitale. Lors de son inauguration, le maire de la ville, MESSI ATANGANA Luc, a précisé qu’en plus de servir de lieu de recasement de ces ex-vendeurs à la sauvette, le marché Ongola accueille aussi les opérateurs économiques évoluant dans le secteur formel. Cerise sur le gâteau de tous ces occupants, le nouvel espace marchand dispose de toutes les commodités à l’instar d’un bloc administratif, d’un laboratoire pour des examens de base, d’une infirmerie dédiée aux premiers soins, d’un restaurant avec terrasse, d’un poste de police, de deux blocs de toilettes et d’un parking de 112 places.
Le jour de son inauguration le 29 septembre 2021, le ministre de la Décentralisation et du Développement local, Georges ELANGA OBAM, a noté le marché Ongola est propice aux transactions commerciales et matérialise la politique des autorités municipales d’occupation rationnelle de l’espace urbain. « Le marché Ongola oeuvre aussi à l’embellissement endogène de Yaoundé, siège des institutions de la République », a-t-il poursuivi.
Le maire de la ville de Yaoundé, Luc MESSI ATANGANA, a procédé à la mise en service des fontaines d’eau dans trois carrefours le 18 août 2023. Ce projet s’inscrit dans le processus d’embellissement de la capitale.
« La mairie de la ville a engagé un certain nombre de chantiers d’embellissement de la ville de Yaoundé. Certains aspects de cet embellissement portent sur l’amélioration de l’image de certains carrefours de notre ville. Ainsi, à Yaoundé 4, au carrefour Messamendongo et au carrefour Tropicana à Mvan, puis au carrefour Omnisports à Yaoundé 5, nous avons réalisé deux fontaines avec système de jets d’eau et éclairage immergé. Ces espaces qui étaient avant entièrement bétonnés sont aujourd’hui végétalisés. Avec l’achèvement de ces travaux, il était tout à fait normal de les ouvrir au public et nous constatons tous que ces infrastructures embellissent ces endroits », a indiqué le premier magistrat de la ville de Yaoundé.
« Les trois fontaines dressées au niveau des carrefours sont composées d’une partie centrale des bassins autour de laquelle viennent s’étaler des maillons lumineux qui feront scintiller l’eau. Elles sont entourées d’espaces verts et de pavés, sécurisées par une grille de protection. Elles sont construites sur un diamètre de 4 mètres avec un système de collecteur circulaire de jet d’eau pour le carrefour Tropicana, 6 mètres pour Omnisports et 8 mètres pour le rond-point Messamendongo qui possède trois collecteurs circulaires pour les jets d’eau et des luminaires sous-marins », explique Michel Robert NYADA ATANGANA, ingénieur du marché.
Les travaux ont été réalisés par l’entreprise Turquoise Construction et contribuent à redonner leur splendeur à ces lieux qui ne payaient pas de mine il y a quelques années encore.
Inaugurés le 16 décembre 2021 par le maire de la ville, ceux-ci viennent s’ajouter aux 120 premiers qui étaient déjà implantés à divers endroits de la capitale.
Le maire de la ville de Yaoundé, MESSI ATANGANA Luc, a inauguré 250 nouveaux mobiliers urbains le 16 décembre 2021 à l’esplanade de l’Hôtel de ville. Ce qui, avec les 120 premiers mobiliers urbains déjà disposés à divers endroits de la capitale, porte à 370 le nombre de ces kiosques multifonctionnels modernes appartenant à la Communauté urbaine de Yaoundé. D’après le maire de la ville, il s’agit, à terme, de doter la cité-capitale au total de 700 mobiliers urbains.
Ce projet, d’un coût de 5 milliards FCFA, et réalisé en partenariat public-privé (PPP) avec l’entreprise Accent Media, est né du constat de l’existence d’une multitude de kiosques de couleurs et de formes différentes, qui contribuaient à donner un visage moins reluisant à la ville. Le nouveau modèle de mobilier urbain est uniforme. Son adoption traduit la volonté du Maire de la ville de lutter contre le désordre urbain et son engagement à accompagner sa mise en œuvre complète. Cet accompagnement se fera à travers le démantèlement de tous les anciens kiosques et l’installation des nouveaux mobiliers. Ce d’autant plus que le projet a bénéficié de l’encadrement du Conseil d’appui à la réalisation des contrats de partenariat (Carpa) et reçu l’onction des plus hautes autorités de l’Etat, en l’occurrence le Premier ministre, chef du gouvernement. « Il va donc de soi que le projet d’installation des nouveaux mobiliers urbains est un choix de l’Etat », a souligné le Maire de la ville. MESSI ATANGANA Luc précise que « projet est réalisé sur le modèle Build-Operate-Transfer, c’est-à-dire que le partenaire construit, exploite et transfert ».
D’après Jacques NDJAMBA, le président directeur général d’Accent Média, ces nouveaux mobiliers urbains vont créer 2000 nouveaux emplois et en transformer 3000 en offrant 7000 m2 d’espace d’affichage publicitaire. Ils présentent également l’avantage de « contribuer de manière significative à l’identification, la localisation et la signalisation des entreprises, à l’amélioration des conditions de travail de ses occupants ainsi que la traçabilité des activités commerciales. », soutient-il.
Il permet aux adeptes de cet espace de se rafraîchir après une pratique de sport en pleine nature.
Le nouveau marché de fruit du parcours Vita donne un autre visage à cet espace offert aux adeptes du sport de la cité capitale par le président de la république. Après une bonne dose de sport, quoi de mieux que des fruits et légumes pour garder « un esprit sain, dans un corps sain ». Cet espace marchand est construit sur environ 500 mètre carrés de tel sorte qu’à gauche on retrouve des comptoirs sur lesquels sont exposés les fruits et légumes, et l’autre extrémité du hangar est réservée à la présentation des salades et des jus de fruits déjà préparés.
Afin de promouvoir une vente de fruits dans le respect strict des normes d’hygiène, de sécurité alimentaire et sanitaire, le Maire de la ville a pensé implanter à bord dudit marché, une toilette avec point d’eau. Désormais, les habitants des quartiers environnants n’auront plus à se déplacer jusqu’au centre-ville afin de s’approvisionner, il suffira d’un tour au marché des fruits du parcours Vita. On y retrouve tout type de fruits. Notamment, les fruits à noyau, à pépin, les agrumes, exotiques… Selon les commerçants rencontrés, l’activité connait un grand succès car l’endroit est hautement fréquenté surtout le weekend. Pour des amateurs du sport en plein air, c’est un véritable chemin santé pour l’acquisition de la force et de la souplesse, relevé par des fruits.
Perché dans la forêt du mont Fébé à Yaoundé, le parcours Vita est un espace public réservé aux activités sportives et à la détente. Il se dresse au-dessus des capacités physiques et de la pesanteur. D’une longueur de 1.6 km et d’une hauteur un peu plus difficile de 108 m, ce parcours propose différents exercices à chacune des étapes. L’objectif d’après les sportifs rencontrés, c’est d’arriver au rocher. Lorsqu’on y est, cet écrin offre une magnifique et paradisiaque vue sur la capitale. Le côté campagnard de ce gymnase de verdure invite tout autant à la randonnée qu’à la pratique sportive. On retrouve aussi à cet endroit, une surface de jeux multisports bétonnée avec des gradins, un court de tennis moderne, une aire de basket, un terrain de football et un parcours de 200m pour la randonnée. Ce dernier est ponctué des stations d’exercices physiques. Un espace aménagé pour les enfants vient parfaire l’aspect récréatif du parcours vita.
Des présidents de syndicats des transporteurs interurbains de voyageurs ont tenu à remercier le maire de la ville de Yaoundé, Luc MESSI ATANGANA, pour la construction de la plateforme multimodale d’Olembé, à la sortie nord de la capitale, une infrastructure moderne censée les accueillir dans les tout prochains jours. La cérémonie s’est tenue le 25 mai 2023 à l’esplanade de l’Hôtel de ville, en présence d’une cinquantaine d’acteurs du transport interurbain.
« C’est le lieu de féliciter et de remercier le maire de la ville, qui a fait confiance à la Cameroon Real Estate and Development Agency, entreprise citoyenne de droit camerounais, pour la réalisation de cet important édifice », souligne Jean-Claude Paul NOAH, le secrétaire général de l’Organisation patronale des syndicats de transporteurs et auxiliaires du Cameroun (Opstac).
Mais, déplore-t-il, « pour intégrer les nouveaux emplacements, les transporteurs doivent payer 12 mensualités d’avance pour des loyers et 700 000 francs à 1 000 000 de francs. En réalité, cela représente pour la plupart des transporteurs une augmentation équivalente à plus de 400 % de leurs charges locatives actuelles. Maintenir de tels prix asphyxierait financièrement à coup sûr l’activité de transport interurbain, plusieurs entreprises n’étant pas capables de payer un tel montant. »
Les transporteurs proposent que les montants des loyers soient revus à la baisse à raison de 500 000 francs pour les grandes agences et 300 000 francs pour les petites. Cependant, les transporteurs tiennent compte des impératifs financiers qui s’imposent à l’entreprise concessionnaire à cet effet, ils sont prêts à payer une caution de 1 000 000 de FCFA et 6 mois d’avance de loyer avant d’intégrer les locaux de la plateforme
Pour sa part, le maire de la ville a salué l’humilité et la capacité d’organisation des syndicats des transporteurs. » Nous disons merci au Syndicat national des transporteurs du Cameroun pour son initiative et pour avoir eu l’idée de venir exprimer la satisfaction des transporteurs par rapport à l’infrastructure que la Communauté urbaine de Yaoundé vient de faire construire. Il sera mis à la disposition des transporteurs, c’est un cadre qui améliore les conditions de travail », a indiqué Luc MESSI ATANGANA. Qui a promis d’examiner les doléances des transporteurs.
Cette espace est constitué de plusieurs aménagements « L’ensemble du complexe comprend des terminaux d’embarquement/débarquement, un marché, 700 magasins, des installations de loisirs comme un petit hôtel, des installations sanitaires, des installations de sécurité, des aires de stationnement, un supermarché et des espaces ouverts pour les petits commerçants. Tout cela ne peut pas être fait au même moment, puisque le site va être trop serré pour manipuler et construire tout cela en même temps. Nous avons donc accordé la priorité à la construction des gares routières qui sont achevées à plus de 90 %. Il reste des petites retouches et des aménagements à l’entrée de la zone. Les gares routières devraient être opérationnelles dans les prochaines semaines, en attendant les autres infrastructures comme le marché qui devrait être opérationnel d’ici 2 ou 3 mois », précise Faustinus Njokikang, architecte chargé du projet.
« Le niveau d’avancement des travaux est satisfaisant lorsqu’on tient compte de la conjoncture difficile dans laquelle ces travaux sont réalisés, la qualité des travaux est aussi satisfaisante. Nous voyons que les quais d’embarquement et de débarquement sont quasiment prêts. Il reste seulement qu’on aménage la voie d’accès et renforce l’éclairage public. Ici, les agences auront plus d’espace qu’ailleurs, aussi bien pour leur matériel roulant que pour leurs clients», rassure Luc MESSI ATANGANA.
Après avoir reçu le mémorandum des transporteurs publics destiné au président de la République, le maire de la ville les invite plutôt à le suivre pour sa remise au préfet du Mfoundi, en sa qualité de représentant du président de la République.
Réactions…
Emmanuel Mariel DJIKDENT, préfet du département du Mfoundi
« Il vous revient maintenant de vous organiser pour entretenir cette infrastructure »
Je dis merci au président de la République qui a bien voulu faire du Cameroun un État unitaire et décentralisé. C’est à ce titre que les collectivités exercent leurs compétences. Et je félicite encore le maire pour avoir pris à bras le corps le problème des transporteurs. Je me réjouis en constatant que certains parmi sont partis de Douala et d’ailleurs. Cela montre que vous communiquez et que vous êtes en symbiose.
Le maire a fait une infrastructure, il vous revient maintenant de vous organiser et de bien l’entretenir. Les transporteurs sont des acteurs principaux, sinon le maillon essentiel dans le mouvement migratoire des peuples. Alors, ils sont un maillon essentiel pour notre développement. Ce que nous attendons de vous, c’est la collaboration. Messieurs les présidents, vous êtes ceux qui transportent des bons citoyens et, parfois, naïvement, inconsciemment ou involontairement, vous transportez de mauvais citoyens. D’où ma recommandation qu’au départ de chaque agence, chaque passager doit être identifiable avec une carte d’identité.
Les doléances fortes contenues dans cette motion feront objet d’une étude au niveau du maire de la ville. Mais tout ça s’arrange dans le cadre d’un dialogue. Nous sommes aujourd’hui à l’ère de la gouvernance participative. Nous ne devons pas décider pour vous sans vous, sinon ça sera toujours contre vous.
Hilaire NDZIPAN, conseiller spécial du président du Syndicat national des transporteurs routiers du Cameroun
« Nous apprécions à juste titre tout ce qui participe à l’amélioration de l’activité de transport »
Nous ne sommes pas seulement des responsables syndicaux qui balançons les mots d’ordre de grève, nous apprécions à juste titre tout ce qui est fait pour participer à l’amélioration de l’activité de transport. Le vecteur d’une économie, c’est d’abord le transport. Et en cela, je pense que nous avons bien fait de porter la doléance de la revendication de la cherté des loyers pour l’accessibilité à cette plateforme multimodale d’Olembé. Et c’est pourquoi le Syndicat national des transporteurs routiers du Cameroun (SNTRC) m’a mandaté de faire le déplacement pour apprécier cet acte posé par le président de l’OPSTAC.